Présenté par Jean Pierre Mattei, fondateur de la cinémathèque de Corse/Casa di Lume, Président de l’Association La Corse et le Cinéma,
Jean Marc Olivesi, conservateur en chef du Musée Bonaparte
Et Raphael Lalhou historien
En partenariat avec le Musée de la Maison Bonaparte, la Cinémathèque de Corse et l’Association La Corse et le Cinéma.
Cette conférence/rencontre sera accompagnée d’extraits de films tournés en Corse : Abel Gance et son Napoléon de Nelly Kaplan (1984), Abel Gance, une mémoire d’avenir de Thierry Filliard et Laurent Drancourt (1980) et de la séquence corse réalisée par Abel Gance en 1925.
À la question que pouvait se poser la presse sur l’opportunité de ce tournage sur la terre natale de Napoléon, l’ami corse de Gance, Pierre Bonardi, devenu son directeur de production sur l’île, répondait4: « Cette épopée d’images ne peut se passer d’un grand souci de sincérité, il fallait venir en Corse pour tourner les scènes pathétiques de 1792, sur les lieux mêmes où elles s’étaient déroulées. Cette véracité, ce souci du réel était pour Gance un des facteurs essentiels de ce tournage. »
Dans l’impressionnante filmographie napoléonienne, Gance fut l’unique réalisateur à s’intéresser à la Jeunesse de Napoléon en Corse et au personnage de Pascal Paoli.
« C’est au printemps 1925 le célèbre réalisateur Abel Gance vient tourner son Napoléon à Ajaccio. Pourquoi ? Avec quels moyens ? Dans quelles conditions ? Avec quelle équipe ? Avec quels partis pris ? Et pour quel résultat ?
Avec son équipe, ses acteurs, ses figurants et au moyen de la presse, Abel Gance a ravivé le souvenir Napoléonien dans la vie politique, économique, sociale et culturelle d’Ajaccio en 1925.
Un tournage qu’il a vécu intensément et sur lequel il s’est exprimé: « J’ai tourné là où Bonaparte avait vécu ces scènes et il reste, de cette résurrection, quelque chose de radioactif dans les images que le temps n’altère pas».
Jean Marc Olivesi, conservateur en chef du Musée Bonaparte
Et Raphael Lalhou historien
En partenariat avec le Musée de la Maison Bonaparte, la Cinémathèque de Corse et l’Association La Corse et le Cinéma.
Cette conférence/rencontre sera accompagnée d’extraits de films tournés en Corse : Abel Gance et son Napoléon de Nelly Kaplan (1984), Abel Gance, une mémoire d’avenir de Thierry Filliard et Laurent Drancourt (1980) et de la séquence corse réalisée par Abel Gance en 1925.
À la question que pouvait se poser la presse sur l’opportunité de ce tournage sur la terre natale de Napoléon, l’ami corse de Gance, Pierre Bonardi, devenu son directeur de production sur l’île, répondait4: « Cette épopée d’images ne peut se passer d’un grand souci de sincérité, il fallait venir en Corse pour tourner les scènes pathétiques de 1792, sur les lieux mêmes où elles s’étaient déroulées. Cette véracité, ce souci du réel était pour Gance un des facteurs essentiels de ce tournage. »
Dans l’impressionnante filmographie napoléonienne, Gance fut l’unique réalisateur à s’intéresser à la Jeunesse de Napoléon en Corse et au personnage de Pascal Paoli.
« C’est au printemps 1925 le célèbre réalisateur Abel Gance vient tourner son Napoléon à Ajaccio. Pourquoi ? Avec quels moyens ? Dans quelles conditions ? Avec quelle équipe ? Avec quels partis pris ? Et pour quel résultat ?
Avec son équipe, ses acteurs, ses figurants et au moyen de la presse, Abel Gance a ravivé le souvenir Napoléonien dans la vie politique, économique, sociale et culturelle d’Ajaccio en 1925.
Un tournage qu’il a vécu intensément et sur lequel il s’est exprimé: « J’ai tourné là où Bonaparte avait vécu ces scènes et il reste, de cette résurrection, quelque chose de radioactif dans les images que le temps n’altère pas».
Aujourd’hui la Ville d’Ajaccio s’associe à la Cinémathèque de Corse, à ’Association La Corse et le Cinéma et au Musée de la Maison Bonaparte qui accueille une exposition qui nous dévoile les nombreuses péripéties qui ont conduit Abel Gance à réaliser ici dans la ville natale de Napoléon une longue séquence de ce film, considéré comme un chef d’œuvre de l’Histoire mondiale du 7ème Art. »
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